Auteur : M.C. Beaton
Éditions : Albin Michel
Nombre de pages : 280
Parution : 2019
Genre : Policier
Résumé de couverture
Lorsque Priscilla Halburton-Smythe ramène à Lochdubh son nouveau fiancé, un dramaturge londonien, tout le monde est enchanté… sauf Hamish Macbeth, amoureux transi de la jeune femme. Mais ses affaires de coeur devront attendre un peu : un des invités aux fiançailles de Priscilla, l’affreux goujat Peter Bartlett, est retrouvé assassiné pendant une partie de chasse à la grouse.
Chargé des premières investigations, Hamish Macbeth fait face à une brochette de suspects huppés, qui avaient tous une bonne raison d’attenter à la vie de l’ignoble capitaine Bartlett.
Mon avis
Après le premier tome qui m’avait bien charmé, j’étais contente de poursuivre cette saga. D’autant plus que ces livres sont petits et se lisent très facilement. Cependant, je ressors un peu déçu de ma lecture.
Nous retrouvons donc, Priscilla qui retourne en Écosse avec son nouveau fiancé. Ses parents ont organisé une réception en leurs honneurs et plusieurs invités sont au rendez-vous. Voilà alors qu’un meurtre survient et que le policier du village, notre cher Hamish, va devoir enquêter pour découvrir qui est le meurtrier
Nous avons exactement le même schéma que lors du premier tome, une personne que tout le monde n’aime pas et qui se fait tuer. Tous les invités ont un mobile pour le tuer donc qui est le vrai meurtrier. Plusieurs personnes sont méprisables et très frustrantes. Par chance qu’il y a Hamish, toujours calme et très intelligent. Je me suis bien attaché à ce personnage. J’aimerais être son ami. Il est plus malin que tout le monde et découvrira qui sera le meurtrier.
Bref, même principe, même univers, même processus, et même si je ne savais pas trop qui était le meurtrier, je savais comment ça allait se terminer. Sachant que cette saga à une vingtaine de livres, je ne suis pas sûre que je vais me rendre jusqu’à la fin, si tous les tomes sont comme ça.
Note : 7/10
Mon avis sur le tome 1 – Qui prend la mouche
Ce livre a été lu en lecture commune avec À la page de Suzie, voir sa chronique ICI

Un gros MERCI !
