Auteur : Anne Robillard
Éditions : Éditions de Mortagne
Nombre de pages : 519
Parution : 2010
Genre : Fantasy
Résumé de couverture
Les armées impériales débarquent en force sur les côtes d’Enkidiev, obligeant Wellan à diviser ses hommes pour les ralentir. Tandis qu’ils défendent le Royaume des Elfes, les Chevaliers capturent une curieuse créature bleue, ignorant ses véritables desseins. Le nouveau Roi d’Émeraude propose à Wellan de lui procurer une des armes que Danalieth a léguées aux humains pour se protéger. C’est un marché difficile à refuser, puisque le grand chef cherche à augmenter ses pouvoirs depuis le début de l’invasion des hommes-insectes. Désireux de venir en aide à son père, Dylan apprend une nouvelle façon de capter les mouvements d’énergie. Cependant, lorsqu’il s’en sert pour la première fois, il se heurte à la résistance d’une jeune fille qui changera à jamais le cours de son destin.
Mon avis
Mon avis est plutôt mitigé sur ce tome, je commence à avoir hâte de terminer cette saga qui est assez longue. Surtout que l’auteure elle-même commence à se perdre. En effet, plusieurs incohérences refont surface. Plusieurs éléments ne sont pas très clairs non plus.
La première moitié du tome est conservé à une bataille contre l’armée des hommes-insectes, jusque-là rien de nouveau, c’est la même routine dans chaque tome. Ensuite, j’étais tout emballée puisqu’il y avait de nouveaux éléments complètement différents. De nouveaux personnages qui pourront aider dans cette guerre, du moins je l’espère. Cependant, certains éléments sont assez étranges et ne concorde pas vraiment, tandis que d’autres, sont un peu exagérés et n’était peut-être pas nécessaires. On a un peu l’impression que l’auteure est partie sur une bulle et a voulu en faire un peu trop et ce tout en même temps. Je suis assez mauvaise habituellement pour trouver les erreurs, mais dans ce tome c’est assez frappant, merci!
Je trouve aussi que l’auteure s’acharne un peu trop à rendre certains personnages mauvais, quand il pourrait être gentil et l’histoire serait autant excellente. Les chevaliers ne manquent pas d’ennemis, ils n’ont pas besoin d’avoir des traîtres parmi eux, mais cela est mon avis personnel. En dehors de ces faits, l’univers reste le même et les personnages principaux toujours aussi attachants.
Note : 6,5/10
Mon avis sur les tomes précédents : tome 1, tome 2, tome 3, tome 4, tome 5, tome 6, tome 7, tome 8
Lecture commune avec
Petite Bulle, Book’s Fever, Escapade Féérique
Ce livre appartient à la littérature de l’imaginaire
3 réflexions sur “Les chevaliers d’Émeraude : tome 9 – L’héritage de Danalieth”